L'île de la fin du monde : la véritable &eac...

La plus grande énigme de cette île aux confins du Pacifique Sud demeure la disparition d'une civilisation complexe selon un scénario qui pourrait être celui de la disparition de l'espèce humaine à l'échelle de la planète. Les témoignages des voyageurs, archéologues et anthropologues livrent des éléments factuels qui leur permettent d'envisager le problème posé et ses prolongements écologiques.
 

Un bout de rocher battu par les tempêtes, aux confins du Pacifique Sud ; un monde étrange où les pentes des volcans sont hérissées de statues géantes dont personne ne peut dire l'origine ni la signification... Ainsi apparut l'île de Pâques aux découvreurs européens. Depuis, des réponses ont été apportées. On sait maintenant qui a construit les statues et comment. Mais le plus grand mystère demeure : celui de la disparition d'une civilisation complexe selon un scénario qui pourrait être celui de la fin de l'espèce humaine à l'échelle de la planète.

Réunis pour la première fois, les témoignages des voyageurs, archéologues et anthropologues livrent les éléments factuels qui permettent d'envisager dans toute son ampleur le problème posé et ses prolongements écologiques.

Centre d'études sur l'île de Pâques et la Polynésie Fondé en 1979 à l'île de Pâques par des personnalités scientifiques, le Centre d'études sur l'île de Pâques et la Polynésie (CEIPP) est une société savante internationale vouée aux études rationnelles sur le passé de l'île de Pâques et plus largement sur celui de la Polynésie. Entre autres domaines de recherche, le CEIPP numérise le corpus des gravures rongorongo et met sur demande les fichiers à la disposition des chercheurs.