Le fantôme de la Mary Celeste

Le 4 décembre 1872, le navire Mary Celeste est découvert dérivant au large des Açores, sa cargaison intacte mais l'équipage disparu. Le jeune écrivain Arthur Conan Doyle s'empare du sujet et imagine ce qui a bien pu se passer. Son récit fascine les Etats-Unis, en particulier la famille du capitaine, une médium réputée et une journaliste d'investigation bien décidée à élucider ce mystère.

Le fantôme de la Mary Celeste

Entre mythe et réalité, la grande romancière Valerie Martin, prix Orange pour Maîtresse, revisite l'histoire d'une des plus célèbres énigmes maritimes : le 4 décembre 1872, la Mary Celeste, un brigantin américain en route vers Gênes, est retrouvé dérivant au large des Açores. À son bord, aucune trace de l'équipage, de son capitaine, Benjamin Briggs, de son épouse et de sa fille qui l'accompagnaient. Pour le jeune écrivain Arthur Conan Doyle, cette disparition est une source d'inspiration inespérée. Pour Violet Petra, médium réputée dans les cercles huppés de Philadelphie, un cauchemar. Et pour le public de l'époque victorienne, obsédé par la mort, un fascinant mystère...

Un navire surgi d'une brume semblable aux ténèbres, un écrivain naissant à la veille de la gloire, l'émergence d'une ferveur spirituelle troublante et inédite : trois trames qui convergent tout au long d'un récit aussi tumultueux que les océans menaçant d'engouffrer la Mary Celeste. Un roman ambitieux sur l'amour, la perte, et les légendes parfois plus fortes que la vérité.

« Ce roman splendide et mystérieux évoque les longues traversées des océans, les tempêtes qui emportent les navires et déchirent les coeurs. Un conte des mers qui s'inscrit dans la tradition de Melville. »
Pat Conroy

« Un roman captivant. Valerie Martin emprunte de multiples voix, points de vue, mêlant les genres et les sources, de la poésie aux papiers d'archives, de la correspondance aux journaux intimes. Saisissant. »
The New York Times

« Un roman qui rend hommage à de grandes figures littéraires telles que Robert-Louis Stevenson, Joseph Conrad et Conan Doyle, tout en jouant avec subtilité et une distance amusée du penchant victorien pour la littérature gothique. »
The Independent

« Certains lecteurs espéreront peut-être trouver une réponse à cette énigme au cours de leur lecture. Valerie Martin nous offre bien plus. »
The Guardian