Catégories

Suivez nous sur Facebook et Instagram

Rechercher

Newsletter

Les Norvégiens, pacifistes

Les Norvégiens, pacifistes


Prix TTC 12,00 €

Description :

Un portrait de la société norvégienne qui apparaît souvent comme un modèle avec des contradictions : pays grandiose mais faiblement peuplé, pacifiste mais exportateur d'armes, etc.




Les norvégiens

Souvent citée comme modèle, la Norvège est de plus en plus enviée, mais n'apparaît pas sans contradictions. Européenne, mais en dehors de l'UE. Grandiose par sa nature, mais faiblement peuplée. Pays de tolérance et de paix, mais aussi important exportateur d'armes.

Peu connus sur la scène internationale en dehors des peintures d'Edvard Munch, des pièces de théâtre de Henrik Ibsen ou de la musique d'Edvard Grieg, les Norvégiens fascinent d'autant plus. Qui les auraient imaginés en cuisiniers d'excellence ? En champion du monde d'échecs ? En nouveau Zidane ? Et avant tout en « Arabes aux yeux bleus » - riches à outrance par leur pétrole, dictant leurs conditions aux compagnies pétrolières peu habituées à ce genre d'exigences ? Plus insupportable encore pour les Latins, ce sont les Norvégiennes qui font la loi. La Norvège est un royaume, et les femmes en sont souveraines.

Émilie, 20 ans, témoigne :
« Je suis entrée au jardin d'enfants de l'université d'Oslo avant même de savoir marcher. Mes parents, étudiants en dernière année de médecine et de théologie, me retrouvaient après leurs cours, tranquillement endormie dans ma poussette, les bords du bonnet gelés par l'hiver norvégien. C'est à Bergen que j'ai grandi, ville de la côte ouest réputée pour son temps pluvieux et la charmante arrogance de ses habitants.
 Avec le soutien de mes parents, je déménageais en France à l'âge de 17 ans afin d'apprendre le français et découvrir le monde. Aujourd'hui je vis dans un studio étroit sous les toits de Paris, à quelques dizaines de mètres des bâtiments de Sciences Po où je suis en deuxième année du Collège universitaire. Loin de la mer et des forêts norvégiennes, je me sens parfois perdue dans la jungle des immeubles haussmanniens. Petit à petit j'ai tout de même pris goût à la vie parisienne, et aujourd'hui je n'ai plus peur pour ma vie lorsque je descends le boulevard Saint-Germain sur mon vélo.
 Il me reste encore toute une planète à découvrir, mais je sais qu'un jour je retournerai dans mon petit pays à la périphérie du continent européen. Au fond je resterai toujours norvégienne, endormie en plein air à -10 °C en plein hiver. »

MON PANIER

Aucun produit

Expédition 0,00 €
Total 0,00 €

Panier Commander

Suivez nous sur Facebook et Instagram

Rechercher